Le modèle innovant que nous portons
Le modèle innovant que nous portons
- 29 October 2025
- Admin
- Innovation
Projets et Startups : l’innovation au service de la jeunesse
(Le modèle pour lequel nous plaidons)
1. La jeunesse comme moteur de l’innovation
Nous plaidons pour une jeunesse créatrice, non spectatrice. À Bukavu, les idées ne manquent pas : elles dorment simplement faute de soutien. Notre vision est de faire du Sud-Kivu un berceau d’innovation locale, où chaque jeune, quel que soit son niveau d’étude, puisse transformer ses idées en projets concrets. L’innovation, pour nous, ce n’est pas imiter la Silicon Valley : c’est inventer nos propres solutions, adaptées à nos réalités, à nos collines, à nos marchés, à nos familles.
2. L’esprit d’initiative comme culture
Nous voulons installer dans le cœur de chaque jeune une conviction nouvelle : on peut créer sans attendre. Créer une startup à Bukavu ne signifie pas disposer d’un grand capital, mais d’un grand courage. Nous voulons des jeunes qui, face aux défis, ne cherchent pas la pitié mais les opportunités. Qu’il s’agisse de transformer le manioc en farine de haute qualité à Nyantende, de concevoir une application pour les motards de Kadutu, ou de fabriquer des briques écologiques à Kavumu, l’essentiel est d’oser.
3. L’économie comme instrument d’émancipation
Notre modèle repose sur l’idée que l’économie doit servir la dignité humaine, non l’inverse. Nous plaidons pour des projets portés par des jeunes qui valorisent les ressources locales : la transformation du café de Kalehe, la production de savon local, la pêche améliorée sur le lac Kivu, l’agriculture intelligente dans les hauts plateaux de Walungu. Chaque activité, aussi modeste soit-elle, doit participer à l’émancipation du jeune et à la construction d’une économie enracinée dans le territoire.
4. Le lien entre savoir et production
Nous voulons rompre avec la fracture entre les diplômés sans emploi et les entrepreneurs sans formation. Notre vision est de connecter les écoles, les universités et les startups, afin que le savoir se transforme en production. Un étudiant en informatique de l’UOB pourrait collaborer avec des artisans de Kadutu pour digitaliser leurs ventes ; un ingénieur agronome de l’ISP pourrait travailler avec des cultivateurs de Kabare sur la modernisation des semences. Le savoir doit irriguer la société.
5. Les incubateurs communautaires
Nous plaidons pour la création d’espaces communautaires d’incubation dans chaque commune de Bukavu. Ces lieux offriraient aux jeunes un cadre pour apprendre, collaborer et expérimenter : ateliers de prototypage, formations en gestion, accompagnement par des mentors locaux. À Ibanda, par exemple, un centre d’innovation pourrait regrouper les jeunes créateurs d’applications mobiles, pendant qu’à Bagira, un autre formerait les artisans du bois et du métal à la conception de produits modernes.
6. Le financement citoyen et la solidarité locale
Nous croyons en la force de la solidarité économique. Plutôt que d’attendre tout de l’État ou des ONG, nous plaidons pour la mise en place de fonds de soutien locaux : cotisations communautaires, partenariats entre associations, micro-crédits solidaires. À Bukavu, des jeunes entrepreneurs comme ceux du marché Beach Muhanzi ou du quartier Nyalukemba ont déjà prouvé qu’avec peu de moyens, on peut bâtir des projets viables lorsqu’on croit en l’unité.
7. L’entrepreneuriat féminin comme pilier du changement
Aucune transformation n’est possible sans les femmes. Nous plaidons pour des startups dirigées par des jeunes filles et des femmes, dans la transformation alimentaire, l’artisanat, la couture, la coiffure, la santé communautaire et les technologies. Des jeunes femmes de Panzi, essence même de la résilience, sont déjà en train de bâtir cette nouvelle économie silencieuse et courageuse que nous devons soutenir et amplifier.
8. Le modèle pour lequel nous plaidons
Notre modèle repose sur une idée simple : l’avenir du Sud-Kivu appartient à ceux qui créent, pas à ceux qui attendent. Nous plaidons pour des startups humaines avant d’être technologiques, des projets qui libèrent avant d’enrichir, des initiatives qui transforment la misère en mouvement. C’est là notre foi : faire de la jeunesse du Sud-Kivu une génération d’entrepreneurs conscients, ancrés dans leurs valeurs, et capables d’inventer un avenir digne de nos montagnes, de nos lacs et de nos rêves.
(Le modèle pour lequel nous plaidons)
1. La jeunesse comme moteur de l’innovation
Nous plaidons pour une jeunesse créatrice, non spectatrice. À Bukavu, les idées ne manquent pas : elles dorment simplement faute de soutien. Notre vision est de faire du Sud-Kivu un berceau d’innovation locale, où chaque jeune, quel que soit son niveau d’étude, puisse transformer ses idées en projets concrets. L’innovation, pour nous, ce n’est pas imiter la Silicon Valley : c’est inventer nos propres solutions, adaptées à nos réalités, à nos collines, à nos marchés, à nos familles.
2. L’esprit d’initiative comme culture
Nous voulons installer dans le cœur de chaque jeune une conviction nouvelle : on peut créer sans attendre. Créer une startup à Bukavu ne signifie pas disposer d’un grand capital, mais d’un grand courage. Nous voulons des jeunes qui, face aux défis, ne cherchent pas la pitié mais les opportunités. Qu’il s’agisse de transformer le manioc en farine de haute qualité à Nyantende, de concevoir une application pour les motards de Kadutu, ou de fabriquer des briques écologiques à Kavumu, l’essentiel est d’oser.
3. L’économie comme instrument d’émancipation
Notre modèle repose sur l’idée que l’économie doit servir la dignité humaine, non l’inverse. Nous plaidons pour des projets portés par des jeunes qui valorisent les ressources locales : la transformation du café de Kalehe, la production de savon local, la pêche améliorée sur le lac Kivu, l’agriculture intelligente dans les hauts plateaux de Walungu. Chaque activité, aussi modeste soit-elle, doit participer à l’émancipation du jeune et à la construction d’une économie enracinée dans le territoire.
4. Le lien entre savoir et production
Nous voulons rompre avec la fracture entre les diplômés sans emploi et les entrepreneurs sans formation. Notre vision est de connecter les écoles, les universités et les startups, afin que le savoir se transforme en production. Un étudiant en informatique de l’UOB pourrait collaborer avec des artisans de Kadutu pour digitaliser leurs ventes ; un ingénieur agronome de l’ISP pourrait travailler avec des cultivateurs de Kabare sur la modernisation des semences. Le savoir doit irriguer la société.
5. Les incubateurs communautaires
Nous plaidons pour la création d’espaces communautaires d’incubation dans chaque commune de Bukavu. Ces lieux offriraient aux jeunes un cadre pour apprendre, collaborer et expérimenter : ateliers de prototypage, formations en gestion, accompagnement par des mentors locaux. À Ibanda, par exemple, un centre d’innovation pourrait regrouper les jeunes créateurs d’applications mobiles, pendant qu’à Bagira, un autre formerait les artisans du bois et du métal à la conception de produits modernes.
6. Le financement citoyen et la solidarité locale
Nous croyons en la force de la solidarité économique. Plutôt que d’attendre tout de l’État ou des ONG, nous plaidons pour la mise en place de fonds de soutien locaux : cotisations communautaires, partenariats entre associations, micro-crédits solidaires. À Bukavu, des jeunes entrepreneurs comme ceux du marché Beach Muhanzi ou du quartier Nyalukemba ont déjà prouvé qu’avec peu de moyens, on peut bâtir des projets viables lorsqu’on croit en l’unité.
7. L’entrepreneuriat féminin comme pilier du changement
Aucune transformation n’est possible sans les femmes. Nous plaidons pour des startups dirigées par des jeunes filles et des femmes, dans la transformation alimentaire, l’artisanat, la couture, la coiffure, la santé communautaire et les technologies. Des jeunes femmes de Panzi, essence même de la résilience, sont déjà en train de bâtir cette nouvelle économie silencieuse et courageuse que nous devons soutenir et amplifier.
8. Le modèle pour lequel nous plaidons
Notre modèle repose sur une idée simple : l’avenir du Sud-Kivu appartient à ceux qui créent, pas à ceux qui attendent. Nous plaidons pour des startups humaines avant d’être technologiques, des projets qui libèrent avant d’enrichir, des initiatives qui transforment la misère en mouvement. C’est là notre foi : faire de la jeunesse du Sud-Kivu une génération d’entrepreneurs conscients, ancrés dans leurs valeurs, et capables d’inventer un avenir digne de nos montagnes, de nos lacs et de nos rêves.